Benjamin Air a grandi dans une famille d’artistes et de cinéphiles. Fan de BD mais dessinateur catastrophique, c’est assez naturellement que, pour raconter ses histoires, il a voulu être réalisateur. En toute simplicité !

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Conscient qu’il fallait des moyens financiers qu’il n’aurait jamais, parce qu' »il ne sais pas me vendre », il a revu ses ambitions à la baisse et il s’est mis à écrire un roman, des nouvelles, puis des chansons, car c’est encore plus court ! Une page. Quelques vers. Une guitare. Sa voix. Ça parait simple, et pourtant…

Ses débuts d’auteur-compositeur-interprète, un album auto-produit en 2005. Les concerts. La promo qui va avec…

Sa rencontre avec une metteur en scène lyonnais a tout accéléré ; montage de sons, puis voix-off, musiques pour le spectacle vivant, première apparition au théâtre habillé en éléphant… Il a progressivement troqué sa guitare et son micro pour d’autres costumes, d’autres chapeaux.
Poussé par quelques « allumés » à être « d’autres lui », il prend depuis un plaisir grandissant à jouer les niais ou les méchants. A être acteur sans devenir schizophrène.
Passé de l’autre côté de la caméra comme Alice a traversé son miroir, il remercie celles et ceux qui ont eu l’audace de lui confier un personnage à incarner ; sans eux, il ne serait que « lui », et il peut vous l’assurer : « au quotidien c’est pas terrible ».
Alors prêter sa voix à la statue de Mourguet, père de Guignol et symbole de la liberté d’expression, est un privilège. Un nouveau défi.
« Merci ! »

Ses références :

Sites internet

http://benjaminair.e-monsite.com/
www.benjaminair.net

Page Facebook
https://www.facebook.com/Benjamin-AIR-Comédien-715526248526395/

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