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Auteur de ses 1m90 environ, Cyril Declercq est un enfant du 20ème siècle. Bercé entre les rêves et les réalités que ce siècle lui a inoculés, l’enfant a grandi sans jamais céder sa place. Désormais l’adulte est « les fruits » de ses expériences.

Dès son plus jeune âge, il a développé son sens de l’analyse, de l’observation puis dès qu’il a su écrire et parler (ou l’inverse), déployé un intérêt intuitif pour les mots, l’écriture, le verbe et la tragicomédie qu’est la vie. Le théâtre était donc évidence. Paradoxalement c’est aux trois quart de l’adolescence (si cet âge existe) qu’il prend concrètement possession des planches, fait perdre leur virginité à ses feuilles blanches et que son âme prend feu. Est-elle composée de bois et de papier ?

Le théâtre et l’écriture ne l’ont jamais quitté, bien qu’il les ait parfois délaissés voire trompés avec d’autres passions plus ou moins éphémères. Mais tout au long de son parcours de vie ponctué d’études scientifiques, commerciales, culturelles (administration d’entreprise), d’emplois sur le fleuve de sa vie ou à contre-courant (communication, formation, gestion de projet, …), il n’a eu de cesse de revenir vers ses deux passions et de les enrichir de son vécu, de ses nouvelles rencontres.

Cadreur, monteur, auteur à pseudo, photographe, comédien au sens propre et au sens figurant, pluridisciplinaire, indiscipliné, autodidacte et mobile, amoureux des mots, de la comédie du langage et du patrimoine, comment ne pas rêver de murmurer à l’oreille des statues et de faire frissonner leurs lèvres ?

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